L'équipe

Gérard Ruel

Il a fait ses débuts comme employé des Ateliers Prévost Inc. le 17 janvier 1952. Il avait 16 ans. Il travaille d'abord 13 ans comme employé dans la réparation des autobus, et au département du meuble.

À sa quatorzième année, il est promu au poste de contremaître dans la carrosserie. Il passe à différents départements. Son expérience l'amène à produire les estimations pour les autobus accidentés ou des véhicules Prévost qui requièrent des modifications. Il prend sa retraite en janvier 1992, après 40 années de loyaux services pour la même compagnie.

Benoît Leblond

Benoît fait ses débuts dans le monde du travail comme cheminot pour environ 6 mois. Puis, il apprend la soudure chez Armand Vaillancourt, un entrepreneur de la place. Il entre à l'usine Prévost en 1957 comme soudeur. Plus tard, il est promu contremaître.

Benoît prend sa retraite en 1999, après 42 années et 3 mois de loyaux service.

Jean-Claude Tanguay

Après avoir travaillé quelques années dans un garage, Jean-Claude se spécialise dans le montage de carrosserie pour camion chez Émile Corriveau (Dorchester Body), un ancien de Prévost, dans l'édifice qui abrite aujourd'hui le Citadin. Il obtient son emploi chez Prévost Car en 1965.

Travailleur compétent, il obtient vite un poste de contremaître. Il prend sa retraite en 1995.

Adrien Leblond

Adrien a travaillé comme garagiste à Saint-Ange, sur la reconstruction d'automobile. Plus tard, Wilbrod Caron, un des premiers employés réguliers pour Eugène Prévost, lui offre un emploi dans son garage à Saint-Malachie.

Lorsque ce garage ferme, il entre à l'emploi d'Émile Corriveau, puis passe à Prévost Car. il travaille dans presque tous les départements puis devient contremaître aux pièces, pour terminer sa carrière au service de la recherche.

C'est au cours de cette période qu'il s'ouvre un garage de mécanicien à l'arrière de son domicile. Son passage chez Prévost Car s'étend sur une période de 9 ans.

Gilles Gagnon

Gilles est un proche compagnon de Jean-Claude. Il a toujours rêvé de travailler sur des autobus, mais il n'a jamais eu la chance d'accéder à l'usine Prévost.

Travailleur acharné, Gilles réalise enfin son rêve en participant à la restauration du Citadin.

René Prévost

Fils du fondateur de Prévost Car, René occupe un travail estival pendant 3 étés consécutifs à l'usine de la rue Prévost pendant qu'il entreprend un cours technique à l'Institut de Technologie de Québec en électronique. Il termine son cours en 1963.

Il entre au service de la Davie Shipbuilding en radiographie pour 3 ans. Il débute par la suite une carrière de 32 années au Canadien National, en Signalisation & Communications. Après 3 années à parcourir les voies ferrées pour l'installation de système de signalisation, il accède à un poste de préposé à l'entretien des signaux.

En 1978 il occupe un poste de concepteur des circuits en signalisation à Montréal.

Cette nouvelle expérience l'amène à postuler un poste de superviseur-adjoint à Montréal qu'il occupe pendant 2 ans. Puis il est promu comme superviseur à l'entretien à Québec, poste qu'il occupe pendant 17 ans avant de prendre sa retraite en 1998.

Jacques Matte

Il débute ses études en mécanique automobile à 17 ans au sein des Forces Armées Canadiennes de Réserve à Québec, de novembre 1970 à avril 1971, spécialisation sur les moteurs à essence. Il est promu caporal spécialisé en remorquage lourd en 1972 et sergent en 1974. En 1975, après un séjour de 6 mois au Moyen-Orient avec les Casques Bleus (ONU), il est responsable d'une équipe volante de réparation couvrant l'est du Québec pour la Réserve.

En 1978, il devient fonctionnaire provincial au Ministère de la Justice. Il quitte la Réserve en 1980 car l'appel de la route se refait sentir et il devient chauffeur d'autobus pour le RTC Québec, emploi qu'il occupe encore maintenant.

Retour à la description du projet